Catherine Richards se considère comme une artiste travaillant avec des médiums anciens aussi bien que nouveaux. Dans ses œuvres, elle s’intéresse à l’impact des nouvelles technologies sur le sujet au fur et à mesure que les limites du corps humain sont repoussées. Reconnue à l’échelle nationale et internationale, son travail a été présenté en 2004 à la Biennale de Sydney (Australie), dans le cadre de l’exposition Résonance. Le projet Corps électromagnétiques à la galerie Oboro à Montréal (2005), et au centre ZKM à Karlsruhe, en Allemagne. En 2000, la Galerie d’art d’Ottawa (Ottawa, Ontario) a monté une grande exposition de ses œuvres des années 1990, intitulée Excitable Tissues et qui, selon Frances Dyson, portait sur « le corps aux prises avec les promesses et les menaces des nouvelles technologies. »